Itinéraire
Carte de notre itinéraire en indonésie
10 heures dans le premier avion de Saudi Arabian Airlines assis à côté de la salle de prière. Ils ont défilé durant tout le vol en serviette de bain blanche immaculée pour prier le très haut, après avoir fait leurs ablutions. C'était à se demander s'il n'y avait pas une piscine cachée au milieu de l'avion...
10 heures de plus d'attente en transit à Jedda en Arabie Saoudite.
Ambiance bruyante, pas de shopping pour tuer le temps, des Belphégors qui errent pathétiquement dans la salle d'attente glaciale et inhospitalière.
6H30 pour notre dernier vol.
Ce matin, fraîchement débarqués ( à vrai dire plûtôt déconfits) en arrivant dans le bâtiment où Gilles travaille à Paris j'ai lu ALLAH au lieu de Hall A !
En m'allongeant sur la pelouse du parc de la Villette, je confondais une vague musique lointaine à l'appel du muezzin....
Lorsque je m'adresse au gens j'ai tout le temps envie de répondre Terima Kasih (merci).
Mais nous sommes en France, j'ai croisé du fromage dans un supermarché et il m'a dit "salut à ce soir!".
Nous sommes donc bien là, heureux d'être là, le regard un peu hagard en attendant notre dernier train.
A plus. On vous embrasse.
En revenant à Jakarta en avion, c'est notre voyage en accéléré qui a défilé sous notre nez...les volcans, les îles gilis, Karimunjawa....
J'ai soulevé un lingot d'or et c'était bien trop lourd pour en rapporter un en France. (13,5kg).
Sur la place principale, on rappelle le temps où Jakarta s'appellait Batavia en proposant des vélos Hollandais à la location avec des chapeaux coloniaux!
Tour de guet construite en 1839 qui servit aussi de station météorologique.
Un hôtel hyper confortable pour bien finir ce magnifique voyage et pour se délasser dans la piscine après quelques heures passées dans les entrailles de Jakarta.
On décolle ce matin.
Je vous laisse sinon je vais encore rater l'avion.
On vous embrasse tous bien fort.
De nombreuses salines à l'est de Sumbawa qui me parait beaucoup plus pauvre que toutes les autres îles visitées.
Des ordures partout dans certains villages traversés. Ailleurs c'est guère mieux, ils les brûlent Une catastrophe écologique...
Le village de Poto à côté de Sumbawa Besar. Rues désertes, silence appréciable durant le temps de la prière. Tous les hommes étaient à la mosquée.
Cette dame nous a gentiment accueillis chez elle pour nous montrer son métier à tisser. Elle n'avait malheureusement qu'une "écharpe" à vendre.
La mer n'est jamais très loin sur une île.
Nous ne savions pas qu'elle était si près de la ville.
En fait, nous ne cherchions pas de l'eau mais.....de la bière!!!
Déjà deux jours sans une seule bulle. Il faut se lever tôt pour trouver une bière dans ce pays, à part dans les zones touristiques.
Trouver un scooter ne nous a pris qu'une heure, C'est pas mal non plus!
En fait, être touriste sur Sumbawa c'est pas si simple, c'est pour ça qu'il n'y en a pas!
Un petit cours d'eau traverse la ville. Le seul à peu près photographiable, car les autres sont jonchés de déchets...
Et dire qu'ils pêchent là dedans.
Bon appétit Monsieur Lapin!
Demain matin on décolle pour Jakarta.
Selamat Tingall!
Bien sûr nous sommes venus jusque là pour eux, les fameux dragons de Komodo.
Deux jours et une nuit de croisière dans le parc national.
Nous avons pu voir et nager avec des raies manta de 3 ou 4 mètres d'envergure et des tortues gigantesques !
Nous avons aussi croisé des Buffles, des cerfs, des sangliers, des singes, des aigles ...
C'était tout simplement époustouflant et cela nous a permis de relativiser la semaine de galère précédente passée dans l'inconfort total!
"Pink Beach". Le sable est rose à cause des fragments de coraux rouges qui s'y déposent.
Voilà, nous sommes arrivés à notre destination finale, demain nous faisons marche arrière pour retourner sur Sumbawa à Besar d'où nous décollerons le 26 aôut pour Jakarta.
Encore désolée de ne pas avoir donné de nouvelles plus tôt et pour l'inquiétude provoquée.
On vous embrasse tous bien fort.
Vous nous manquez!
Attente interminable à la gare routière. Nous avons tué le temps en jouant à "pipolo" (jeu du menteur).
Tous les yeux étaient braqués sur nous. Pourtant tous les jours des touristes passent par là pour aller à Komodo...
Ferry, bus, referry, pour arriver là....le trou du cul du monde !
Ce n'était pas tout à fait dénué de charme et nous avons même pu assister à leur fête nationale.